Mon nom de plume est Furari. En japonais, cela s’écrit ふらり et signifie « au gré du vent ».
Ce nom me vient directement du magnifique manga éponyme de l’auteur japonais Jirō Taniguchi.
Voilà huit ans que j’écris des haïkus, presque tous les jours.
Le haïku est devenu pour moi comme une voie, un art de l’essentiel, une philosophie de vie.
Je l’ai adopté (ou lui m’a adopté) à la manière des exercices spirituels de la Grèce antique tel que Jean-Pierre Hadot nous les présentés. En effet, écrire des haïkus me permet de me connecter à l’instant présent, à ses plus infimes variations. C’est une sorte de méditation également. Je ne saurais dire si les haïkus que j’écris sont bons ou mauvais. Mais ce n’est pas là l’essentiel. Leur force est aussi de me permettre de me replonger dans l’instant, saisi parfois quelques années auparavant. Il agit comme une photo. Je me souviens encore de mon premier haïku écrit sur la butte Montmartre.
Au-delà des articles que je vous propose pour :
- savourer des haïkus d’auteurs reconnus : « Haïkus d’auteur«
- découvrir le haïku sur un plan plus théorique grâce à la découverte de livres, de sites ou d’articles : « Découvrir le haïku«
- découvrir d’autres formats de poésie brèves ailleurs dans le monde : « Ailleurs dans le monde«
- lire quelques unes de mes créations : « Au gré du vent«
- explorer les philosophies comme celle du haïku portées par la soif de l’essentiel : « Philosophie de l’essentiel«
Une dernière page vous proposera également des liens web que j’ai appréciés pour aller plus loin dans la découverte du haïku : Ailleurs sur le web.